J'écris, je m'écrie, je crie, je m'écris.
Seule, perdue dans ce monde qui te semble irréel Une inconnue, au milieu de toute cette cohue. Tu flottes dans un espace où la vie est plus belle. Tu jettes un regard sur les tiens, tu les as perdu de vue Consciente, tu vogues dans un océan de douleur...
Dans les limbes auréolés d’une douce clarté Je te rêve, orné d’une tendresse argentée.. Dis-moi pourquoi ce nuage d’or vient teinter Ce tableau paré d’arabesques enchantées ? L’archer cupidon se serait fourvoyé ? Le venin du scepticisme étreint-il mon...
Entends- tu le vent hurler ? Entends-tu l’éclair chanter ? Cette mélopée qui s’insinue M’éventre, me tiraille, me met à nu. Le bruit de la tempête détonne, Echo de mon cœur creux qui résonne. En proie au supplice, impuissante, Je regarde ce spectacle...
Un mot empoisonné, Des massacres par milliers, Des gens torturés, Des familles dévastées... Un acte délibéré, Des peuples recrutés, Des horreurs inventées, Du travail forcé... Un monde dévasté, Des personnes souillées, Des âmes abîmées, Des pensées non-contrôlées......
In the darkest sea, What can you be? A kind of innocent victim? And unfortunately grim? Try to escape from it, Crossing at the moonlit. In a diaphanous light, Don't think of that slight. Just become an hymn, A loudly freedom hymn.